Dans cet article, le sujet de Albédo de Bond sera abordé sous différentes perspectives et approches. Albédo de Bond est une question d'une grande actualité aujourd'hui, elle suscite des débats et des controverses dans divers domaines, et son étude est cruciale pour comprendre la complexité de la société contemporaine. Tout au long de ces pages, les multiples bords qui composent Albédo de Bond seront analysés, leurs implications pratiques et théoriques seront examinées, et différentes réflexions seront proposées qui invitent à une réflexion critique. Issu de différentes disciplines et domaines de connaissance, Albédo de Bond sera examiné de manière rigoureuse et détaillée, dans le but d'apporter de nouvelles perspectives et d'enrichir le débat autour de ce phénomène.
En astronomie, l'albédo de Bond, ou albédo bolométrique, ou albédo sphérique, ou albédo planétaire, mesure la capacité d'un corps astronomique à réfléchir la lumière reçue, en tenant compte de tous les angles sous lesquels cette lumière parvient à la surface du corps. En d'autres termes, il s'agit de la fraction d'énergie totale réfléchie dans l'espace par la surface d'un astre en intégrant de 0 à π l'énergie I(α) réfléchie sous tous les angles de phase α. C'est une grandeur sans dimension représentant la réflectivité globale d'un astre, par définition comprise entre 0 et 1. Il a été introduit au XIXe siècle par l'astronome américain George Phillips Bond.
L'albédo de Bond est lié à l'albédo géométriquep et à l'énergie réfléchie à angle de phase nul I(0) par l'intégrale de phase q au moyen de la formule :
L'albédo de Bond peut être inférieur ou supérieur à l'albédo géométrique, en fonction des propriétés de la surface et de l'atmosphère éventuelle des astres considérés. Le tableau ci-dessous permet de comparer ces deux valeurs pour plusieurs corps du Système solaire.
↑(en) Anne Verbiscer, Richard French, Mark Showalter, Paul Helfenstein, « Enceladus: Cosmic Graffiti Artist Caught in the Act », Science, vol. 315, no 5813, , p. 815 (ISSN0036-8075, lire en ligne) DOI10.1126/science.1134681