But en or

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Au football, le but en or sert à départager deux équipes et décider du vainqueur au cours d'une prolongation : le match se termine immédiatement dès qu'une équipe marque durant la prolongation. L'équipe prenant l'avantage au score grâce à ce but remporte donc la partie. Si aucun but n'est marqué avant la fin de la prolongation, une séance de tirs au but permet de départager les équipes.

Historique

La règle du but en or est appliquée pour la première fois lors du Championnat du monde Junior disputé en Australie en 1993. Pendant le tour préliminaire de la Shell Caribbean Cup 1994, une variante basée sur un but en or qui compte double est expérimenté avec un règlement prévoyant aussi des prolongations en match de poule. Elle a ensuite été utilisée lors des tournois majeurs comme la Coupe du monde et le Championnat d'Europe entre 1996 et 2003. L'Allemagne remporte la finale de l'Euro 1996 sur un but en or. La France, quant à elle, s'impose à quatre reprises sur un but en or : en huitième de finale de la Coupe du monde 1998, en demi-finale et en finale de l'Euro 2000, et enfin en finale de la Coupe des confédérations 2003. L'International Football Association Board supprime cette règle le en raison de l'injustice pour le perdant qui perd l'opportunité d'égaliser durant le temps restant des prolongations.

Aucun but désormais n'interrompt le match, y compris lors des tirs au but, où le camp mené au score garde une possibilité d'égaliser lors des tirs suivants. À noter toutefois que les tirs au but ne sont joués que dans la mesure où l'écart de score demeure rattrapable arithmétiquement. Après un certain nombre de tirs ratés ou bloqués, l'équipe menant au score se voit décerner la victoire sans jouer le reste de la série, dans la mesure où la réussite de ses tirs par l'équipe dominée ne changerait rien à l'issue du score (cas par exemple lors de la finale de 2006, où la France ne joue pas son dernier tir après le dernier réussi de l'Italie, puisqu'il lui devient impossible de rattraper le score à ce moment).

Références