Dans le monde d'aujourd'hui, Fanny Ardant est devenu un sujet d'intérêt général couvrant un large spectre d'applications. De son impact sur la société à sa pertinence dans l’économie mondiale, l’étude de Fanny Ardant a acquis une importance indéniable dans divers domaines de la connaissance. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Fanny Ardant et son influence sur notre quotidien. De ses origines à son évolution aujourd'hui, nous plongerons dans une analyse détaillée qui nous permettra de mieux comprendre l'importance et la portée de Fanny Ardant dans le monde contemporain.
Née à Saumur, elle est la fille du colonel Jean Ardant, ancien chef de corps du régiment de cavalerie de la Garde Républicaine, né à Saint-Jouvent (Haute-Vienne). Après sa carrière militaire, ami du prince Rainier, il devient ensuite gouverneur du palais de la principauté de Monaco, où Fanny passe sa jeunesse. Elle passe une partie de son enfance à voyager en Europe.
Elle fait ses études supérieures à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence, section « Relations internationales » (promotion 1971), qu'elle achève au bout de trois ans en rédigeant un mémoire intitulé Surréalisme et anarchisme (1971).
Elle décide assez tardivement de devenir actrice afin d'assouvir sa passion pour le théâtre et joue notamment Racine[Quand ?], Claudel et Montherlant.
Années 1970 et 1980
Sa première apparition, dans Marie-poupée de Joël Séria, en 1976, est remarquée par le public[réf. nécessaire].
Fanny Ardant tourne plusieurs films pour la télévision, dont certains, comme Les Dames de la côte de Nina Companeez, attirent l'attention de François Truffaut, à la recherche d'une actrice, qui lui donne le premier rôle féminin de La Femme d'à côté (1981) et de Vivement dimanche ! (1982). Elle s'engage dans une relation amoureuse avec lui et sera sa dernière compagne.
En 2009, Fanny Ardant réalise son premier film Cendres et Sang. L'octroi de l'avance sur recettes fait polémique, eu égard à la faiblesse du projet, et le film est mal accueilli par la critique et le public, avec un peu moins de 15 000 spectateurs au bout de 5 semaines d'exploitation.
Années 2010 et 2020
En 2010, elle met en scène Chimères absentes, court-métrage dans lequel elle interprète le premier rôle, qui s'inscrit dans son combat en faveur de la communauté rom.
En 2013, elle fait une courte apparition dans le film franco-italien La grande bellezza.
En 2011, elle apparaît dans le clip de la chanson Elle me dit de Mika après avoir fait une apparition, vingt ans auparavant, dans celui d'Alain Bashung, Madame rêve,.
En 2012, elle enregistre Amoureuse en duo avec Véronique Sanson.
En 2007, Fanny Ardant déclenche la colère d'hommes politiques italiens et de familles de victimes du terrorisme en confiant dans une interview qu'elle considère Renato Curcio, fondateur des Brigades rouges, comme « un héros ». Piero Mazzola, fils d'un policier abattu en 1974 par les Brigades rouges, dépose plainte contre l'actrice.
Elle a présenté des excuses :
« Je comprends que des gens m'aient traitée d'idiote. Je ne leur donne pas tort. Je ne suis pas une politicienne, je n'ai pas d'expérience. Je ne suis qu'une actrice, une personne ordinaire. »
À propos de Poutine
Lors de la promotion de son film Le Divan de Staline en sur le plateau de l’émission 28 minutes d'Arte, Fanny Ardant attaque la corporation des journalistes, « laquais de l'Amérique » et soumis à « la pensée unique ». Elle dénonce un « Occident donneur de leçons » et se félicite aussi de ce « contre-pouvoir » incarné par la Russie, tout en reconnaissant « ne pas connaître les tenants et les aboutissants ».
En août 2022, dans une interview pour Le Point, elle déclare son soutien au réalisateur Roman Polanski, qui est accusé de viol et d'agressions sexuelles par douze femmes et qui est toujours aux prises avec une affaire ancienne qui l'a amené à fuir les États-Unis dans les années 1970.
Elle soutient avoir admiré l'homme et, selon elle « tout le monde fait des erreurs ».
Dans la même interview, elle déclare avoir envié Íngrid Betancourt au moment où elle était prisonnière des FARC, avouant par là même admirer ce mouvement révolutionnaire colombien des FARC, responsable de cet enlèvement.
↑« Fanny Ardant : « Comme moi, François Truffaut mettait l’amour au-dessus de tout » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
↑Philippe Lamy (sous la dir. de Claude Dargent), Le Club de l'horloge (1974-2002) : évolution et mutation d'un laboratoire idéologique (thèse de doctorat en sociologie), Paris, université Paris-VIII, , 701 p. (SUDOC197696295, lire en ligne), p. 431.