Dans cet article, nous allons explorer le sujet de Frans Emil Sillanpää de manière approfondie et détaillée. _Var1 est un sujet d'intérêt et de débat depuis longtemps, et dans cet article, nous allons examiner ses origines, son impact sur la société et sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui. Depuis ses débuts jusqu'à son évolution au fil des années, Frans Emil Sillanpää a été un élément fondamental dans de multiples aspects de la vie quotidienne. Nous analyserons différents points de vue, étudierons les données pertinentes et présenterons les opinions d’experts dans le domaine. Avec une approche objective et critique, cet article cherche à faire la lumière sur Frans Emil Sillanpää et son influence sur le monde moderne.
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
F. E. Sillanpää est le fils de petits fermiers de l'ouest de la Finlande. Après avoir accompli son cursus scolaire au lycée de Tampere, il commence des études de biologie à l'université d'Helsinki en 1908, études qu'il abandonnera en 1913 pour rédiger des articles dans le journal Uusi suometar. Il écrit son premier roman La Vie et le Soleil en 1916.
Sillanpää a écrit une vingtaine de romans ou recueils de nouvelles dont un tiers a été traduit en français. Ses personnages sont issus du petit peuple de la Finlande rurale : servantes, métayers ou petits propriétaires. Ils subissent leur destin, souvent une lente déchéance, avec une résignation passive ou une indifférence sereine. La vie et une nature évoquées de façon lyrique leur offriront quelques périodes de rémission et de bref bonheur.
Un de ses poèmes, écrit en 1939, a été mis en musique en 1940 pour constituer un chant patriotique, Le Chant de marche de Sillanpää (Sillanpään marssilaulu).
Publié en français sous le titre Sainte Misère, traduit par Jean-Louis Perret, Paris, Rieder, 1928 ; réédition, Paris, Presses du Compagnonnage, Collection des prix Nobel de littérature, 1963, avec un appareil critique.
Publié en français sous le titre Hiltu et Ragnar : histoire de deux enfants des hommes, traduit par Jean-Luc Moreau, Paris, Éditions P.-J. Oswald, 1974 ; réédition, Caen, Presses universitaires de Caen, 1995 ; réédition, Villegly, Encre bleue éditeur, 2001, (ISBN978-2-84379-155-0)
Enkelten suojatit, 1923
Omistani ja omilleni, 1924
Maan tasalta, 1924
Publié en français sous le titre Près du sol, traduit par Maurice de Coppet, Helsinki, W. Söderström, 1929
Publié en français sous le titre Silja ou une brève destinée, traduit par Jean-Louis Perret, Paris, Rieder, 1940 ; réédition de cette traduction révisée par Pierre-Alain Gendre, Lausanne, éditions Esprit ouvert, 2000, (ISBN978-2-88329-044-0)
Miehen tie, 1932
Publié en français sous le titre Paavo, traduit par Lucie Thomas, Paris, P.U.F., 1946
(en) Autobiographie sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui détaille ses apports)