Aujourd'hui, Les Femmes du 6e étage est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat dans la société. Depuis son émergence, elle a retenu l’attention des experts et du grand public, qui cherchent à la comprendre et à l’analyser sous différents angles. Son impact couvre divers aspects, de l’économie à la culture, et son influence s’étend à l’échelle mondiale. Au fil du temps, Les Femmes du 6e étage est devenu un phénomène très pertinent, donnant lieu à des opinions contradictoires et à des réflexions profondes. Dans cet article, nous explorerons ce sujet pertinent en détail, en examinant ses implications et ses conséquences dans différents domaines.
En 1962, dans le Paris cossu du 16e arrondissement, Jean-Louis Joubert, agent de change, découvre les conditions d'hébergement, au sixième étage de l'immeuble où il habite, de plusieurs femmes d'origine espagnole employées comme « bonnes à tout faire ». Par l'intermédiaire de María, nouvellement engagée par son épouse, il va à la rencontre des personnalités diverses et attachantes de ces femmes jusqu'à ce qu'une crise conjugale l'amène à s'installer lui aussi au sixième étage, dans une chambre de bonne.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
Ay Pena Penita(es) par Manuel L. Quiroga, Rafael de León et Antonio Quintero.
Con las bombas que tiran par Manuel L. Quiroga, Rafael de León et Antonio Quintero.
La bande originale du film Les Femmes du 6e étage figure sur le CD Les Musiques de Jorge Arriagada pour les films de Philippe Le Guay, paru chez www.disquescinemusique.com en 2013.
Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 67 % d'opinions favorables pour 67 critiques. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 52⁄100 pour 18 critiques.
En France, le site Allociné propose une note moyenne de 3,4⁄5 à partir de l'interprétation de critiques provenant de 23 titres de presse.
« Voilà un conte de fées ancillaire qui ne renseigne pas forcément sur la lutte des classes, mais est plein de détails savoureux sur les compromis. »
Le film est construit d'une manière similaire à Papa, maman, la bonne et moi (1954), film de Jean-Paul Le Chanois, les deux œuvres partageant beaucoup d'éléments (ambiance d'un immeuble parisien des années cinquante, allers-retours entre l'appartement bourgeois et l'étage ancillaire, histoire sentimentale, etc.)[réf. nécessaire]
Le réalisateur dit s'être « inspiré de sa propre enfance pour écrire le scénario », lui qui avait un père agent de change et qui avait engagé une employée de maison d'origine espagnole pour le garder quand il n'était qu'un enfant.
Certaines comédiennes (Berta Ojea, Concha Galan) sont strictement hispanophones et ont dû apprendre leur texte phonétiquement.
Notes et références
Notes
↑L'affiche du film comporte le titre typographié « Les Femmes du 6e étage », avec mise en exposant de l'abréviation, tandis que le générique du film recourt à la typographie « Les Femmes du 6ème étage », sans exposant, et avec une abréviation différente pour l'adjectif ordinal.
↑André Videau, « Les femmes du 6e étage. Film français de Philippe Le Guay », Hommes & migrations. Revue française de référence sur les dynamiques migratoires, no 1290, , p. 152 (ISSN1142-852X, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) « 2011 web archives », sur Colcoa French Film Festival in Hollywood (consulté le )