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Dans le nom hongroisRózsaMiklós, le nom de famille précède le prénom, mais cet article utilise l’ordre habituel en français MiklósRózsa, où le prénom précède le nom.
Miklós Rózsa (, ), né le à Budapest (Hongrie) et mort le à Los Angeles (États-Unis), est un compositeur de musique de films et de musique classique. Quatre de ses musiques, dont celle de Ben-Hur, obtinrent des récompenses internationales.
Il débute également une collaboration qui s'avérera très fructueuse avec le réalisateur Billy Wilder et d'autres cinéastes de premier ordre comme Fritz Lang, George Cukor ou Vincente Minnelli feront appel à son talent à plusieurs reprises.
En 1945, il remporte son premier Oscar de la meilleure musique pour le film d'Alfred Hitchcock, La Maison du docteur Edwardes. Dans le livre d'entretiens Hitchcock/Truffaut, le réalisateur avoua qu'il ne fut pas pleinement satisfait de la partition trop sentimentale (à son goût) de Rózsa, et ce film fut leur unique collaboration. Il n'en demeure pas moins que Rózsa fut le seul compositeur récompensé pour la musique d'un film d'Alfred Hitchcock (en dépit de l'excellente collaboration que ce dernier développera plus tard avec Bernard Herrmann).
Mais c'est son travail sur les péplums qui fera sa renommée à la fin des années 1950 et au début des années 1960 : Ben-Hur, Le Roi des rois, Le Cid…
Il continue d'écrire des partitions plus traditionnelles comme son concerto pour violon, dédié à Jascha Heifetz, ce dernier en donnant la première à Dallas en 1956. Rózsa en a réutilisé d'ailleurs plusieurs thèmes pour la musique de La Vie privée de Sherlock Holmes, film de Billy Wilder (1970). Son œuvre classique comprend près de 45 numéros d'opus, dont de la musique de chambre, des œuvres chorales ou des pièces symphoniques.
Lorsque le péplum devint désuet au milieu des années 1960, sa carrière marqua le pas, sa musique ayant été (trop) injustement associée au genre.
Dès lors, il ne composera plus qu'une poignée de films, qui seront empreints, pour la plupart, d'une nostalgie marquée pour le cinéma classique, le "Golden Age" hollywoodien (Fedora de son vieux complice Billy Wilder, C'était demain, L'Arme à l'œil).
C'est en 1982 qu'il termine une carrière filmographique bien remplie avec un humour certain, en parodiant sa propre musique dans la comédie Les cadavres ne portent pas de costard, qui se veut un hommage aux films noirs des années 1940.